The Mental Injuries Tool group was established out of a stakeholder sub-committee of worker representatives and the Occupational Health Clinics for Ontario Workers who were charged with “supporting worker representatives in taking action on prevention and workers’ compensation”. In February 2011 members of the working group and other interested people attended a workshop which reviewed the theory behind common psychosocial measurement tools. Participants were walked through the content of a number of surveys, filled them out, and reviewed the scored results.
Through many contacts and deliberations, the group decided to pilot test the COPSOQ survey at upcoming union events. We contacted Tage Kristensen, the author of the COPSOQ survey and received permission to use the instrument. No changes were made to the English language version of the COPSOQ questions.
Based on these successful trials of the survey, the feed-back we received from the pilot respondents, and discussions within the MIT group it was decided to adopt the COPSOQ survey as the basis for our assessment tool. For the symptoms however, we included extra questions from a longer version of the survey. Five symptom categories were included (burnout, stress, sleep troubles, cognitive and somatic symptoms). With respect to the questions about offensive behaviours, two questions concerning discrimination and vicarious offensive behaviours were added. We did not include any questions regarding an individuals’ history of mental illness or depressive symptoms since we were concerned the worker representatives using the survey might be able to trace an individual’s responses and “label” or “diagnose” the person (even though the surveys are anonymous).
In response to the feedback received during the union conferences and discussions during MIT meetings/calls, questions were considered about exposures to other health and safety workplace hazards. These questions address issues similar to the “Supportive Physical Environment”, which was added as a 13th Workplace Factor in the CSA Z1003 national standard on “Psychological Health and Safety in the Workplace”. Furthermore, various preliminary and demographic questions (often customized to the union or workplace) were also added. The decision to include the exposure questions was made by the MIT group whereas the decision to include various demographic and other questions (e.g. shift work), was left to the discretion of the parties using the survey for their particular workplace. Any additional questions (like the shift question) were usually taken from established sources (such as the Canadian Community Health Survey) so that the results will be comparable to published data/studies. The questions regarding behaviour based safety programs were taken from the Nordic Occupational Safety Climate Questionnaire (NOSACQ-50).
In 2016, as part of the COPSOQ International Network we piloted the COPSOQ II – MIT questionnaire along with new COPSOQ III questions. These new additions were included in a Canada-wide survey of over 4000 working Canadians conducted by EKOS (a polling firm). The data from this survey has become our comparison data.
Methodology
StressAssess makes a number of comparisons to help evaluate the results of your survey. First, the results are compared to the 2016 Canada-wide survey results (i.e. Canadian “average” or “typical” responses). It should be noted that having similar results as the average is not necessarily a “good thing”, since on average, Canadian workplaces struggle with the effects of stress on their organizations.
Keeping the limitation of comparing to the Canadian “average” in mind, we also provide a second comparison. To test for possible associations between psychosocial factors and symptoms, a correlation matrix was constructed to identify those risk variables that have statistically significant associations with symptoms. From this matrix we select the top risk factors associated with the sum of all the symptoms (as measured by the square of the Spearman rho coefficient). These top risk factors are then presented as the main issues for the H&S reps to work on. The correlation matrix is also a part of the spreadsheet analysis tool. This list of risk factors for further attention is based on an internal comparison of only the respondents’ data and thus, does not rely on the comparison with the Canadian reference data for this selection.
Any questions about the history or methodology of this survey should be directed to John Oudyk (joudyk@ohcow.on.ca).
Le groupe OBM est constitué d’un sous-comité d’intervenants qui représentent les travailleurs ainsi que des Centres de santé des travailleurs (ses) de l’Ontario. Ils ont reçu le mandat de « aider les représentants des travailleurs à prendre des mesures pour la prévention et pour l’amélioration de l’indemnisation des travailleurs ». En février 2011, les membres du groupe de travail ainsi que d’autres personnes intéressées ont assisté à un atelier pour examiner la théorie derrière les outils communs de mesure des aspects psychosociaux. Les participants ont reçu des renseignements sur le contenu de plusieurs sondages, ils ont répondu aux sondages, puis ils ont examiné les pointages obtenus.
À la suite de nombreuses communications et délibérations, le groupe a décidé de mettre à l’essai le sondage COPSOQ lors des prochaines activités syndicales. Nous avons communiqué avec Tage Kristensen, l’auteur du sondage COPSOQ, et nous avons reçu la permission d’utiliser l’instrument. Aucun changement n’a été apporté à la version en anglais des questions du COPSOQ.
Compte tenu de la réussite des essais, de la rétroaction reçue des premiers participants et des discussions au sein du groupe OBM, nous avons décidé d’adopter le sondage COPSOQ et de l’utiliser comme référence pour notre outil d’évaluation. Toutefois, en ce qui concerne les symptômes, nous avons ajouté des questions trouvées dans une version allongée du sondage. Nous avons inclus cinq catégories de symptômes (épuisement, stress, troubles du sommeil, symptômes cognitifs, et symptômes somatiques). En ce qui a trait aux questions sur les comportements offensants, nous avons ajouté deux questions relatives à la discrimination et aux comportements offensants indirects. Nous n’avons pas inclus de questions sur les antécédents de maladie mentale ou sur les symptômes de dépression des participants, car nous craignions que les réponses à ces questions permettent aux représentants qui font passer le sondage aux travailleurs de reconnaître les participants et de les « étiqueter » ou leur « poser un diagnostic » (malgré l’aspect anonyme du sondage).
Compte tenu de la rétroaction reçue durant les conférences syndicales et les discussions durant les réunions ou appels du groupe OBM, des questions ont été soulevées au sujet de l’exposition à d’autres risques pour la santé et la sécurité au travail. Ces questions touchent à des sujets similaires à ceux du facteur « Environnement physique accueillant », qui est devenu le 13e facteur du milieu de travail de la norme nationale CSA Z1003 sur la « Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail ». De plus, nous avons également ajouté diverses questions préliminaires et démographiques (souvent adaptées au syndicat ou au lieu de travail). La décision d’inclure les questions sur l’exposition provient du groupe OBM, tandis que la décision d’inclure diverses questions démographiques et connexes (p. ex. le travail par quarts) a été laissée à la discrétion des personnes qui utilisent le sondage pour leur lieu de travail particulier. Les questions supplémentaires (comme la question sur le travail par quarts) proviennent habituellement de sources fiables (comme l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes) afin de permettre de comparer les résultats à des données ou des études publiées. Les questions relatives aux programmes de sécurité axés sur les comportements proviennent du Nordic Occupational Safety Climate Questionnaire (NOSACQ-50).
En 2016, durant le congrès du COPSOQ International Network (réseau international du COPSOQ), nous avons mis à l’essai le questionnaire COPSOQ II – OBM ainsi que de nouvelles questions pour le questionnaire COPSOQ III. Ces nouveaux ajouts ont été intégrés à un sondage pancanadien, mené par EKOS (une maison de sondage), auquel ont participé plus de 4 000 travailleurs canadiens. Les données de ce sondage sont devenues nos données de référence.
Méthodologie
StressAssess effectue plusieurs comparaisons afin de vous aider à évaluer les résultats de votre sondage. D’abord, les résultats sont comparés à ceux du sondage canadien de 2016 (c.-à-d. la « moyenne » ou les réponses « typiques » du Canada). Il faut noter que le fait d’obtenir des résultats qui cadrent dans la moyenne n’est pas nécessairement un « bon signe », car la plupart des lieux de travail canadiens composent avec des effets du stress sur leur organisme.
Puisque cet aspect limite la capacité à effectuer une comparaison à la « moyenne » canadienne, nous fournissons une deuxième méthode de comparaison. Pour trouver les associations possibles entre les facteurs psychosociaux et les symptômes, une matrice de corrélation a été créée afin de définir les variables de risque qui présentent un lien statistiquement significatif avec les symptômes. De cette matrice, nous avons sélectionné les principaux facteurs de risque associés à l’ensemble des symptômes (mesuré par le carré du coefficient rho de Spearman). Ces principaux facteurs de risque sont ensuite présentés comme les principaux problèmes que les représentants en SST devront tenter de régler. La matrice de corrélation fait également partie de l’outil d’analyse par chiffrier. La liste des facteurs de risque qui nécessitent une attention supplémentaire est dressée en fonction d’une comparaison interne exclusive entre les données des répondants, et elle n’est donc pas fondée sur une comparaison aux données de référence canadiennes pour cette sélection.
Si vous avez des questions au sujet de l’historique ou de la méthodologie du présent sondage, veuillez les acheminer à John Oudyk (joudyk@ohcow.on.ca).